concubine Famille Berckmans BIOGRAPHIE: Femme de chambre servant dans la maison du gouverneur d'Audenarde, Charles de Lalaing (+1525) où elle est remarquée par Charles-Quint (au Chateau de Bourgogne) Note sur les descendants de la mère de la duchesse Marguerite de Parme. + wikipedia (Par M. De Ram, membre de la Commission Royale d'Histoire - Bruxelles. séance du 9 novembre 1904) +++++++ M. le professeur Serrure a démontré, dans un article sur la naissance de Marguerite de Parme, que le récit de Strada et de Léti, concernant la noble origine maternelle de cette princesse, est dénué de fondement. Il cite, à l'appui de son opinion, un acte de notoriété délivré, le 19? octobre 1561, par l'autorité municipale d'Audenarde, à la requête des oncle et tante maternels de Marguerite de Parme, pièce destinée à servir d'appui à une supplique que ces parents devaient adresser à la duchesse pour en obtenir quelque secours. D'après cet acte, la mère de la duchesse était la fille de Gelus? Van der Ghenst et de damoiselle Van der Coye, sa femme. Elle avait un frère et deux soeurs : Baudouin Van der Ghenst, qui, en 1561, était ouvrier en tapisseries au village de Nukerke, sur la chaussée d'Audenarde à Renaix, et Agnès Van der Ghenst, demeurant également, en 1561, à Luxembourg par la reine Marie, devenue régente des Pays-Bas, en 1551. On sait que la tante de Charles-Quint, Marguerite d'Autriche, gouvernante des Pays-Bas, entoura de soins et de prévenances, dès son berceau, la fille de l'Empereur, née en 1521. La reine Marie, la soeur de Charles-Quint, remplit aussi ce devoir, et paraît avoir pris à tâche de procurer une position à celui qui épousa la mère de l'enfant de son frère. En 1559, Jean Van Dyck ou Van den Dycke obtint la seigneurie de Santvliet, comme il conste par l'extrait d'un registre de fiefs cité par Le Boy (1) : Maître Jan Van den Dycke, conseiller et maître de la chambre des comptes en Brabant, le 8 août 1559, par un bon achat fait par lui envers notre très + sire le Roi, tient la haute, moyenne et basse seigneurie (en fait la justice de cette seigneurie ndlt) de Santvliet (Zandvliet) sise sous le quartier d'Anvers, etc. D'après un manuscrit cité par M. le professeur Serrure, Jean Van den Dycke signa, en 1558, en qualité de bailli d'Heuverhuys, un compte de l'église de Wanneghem, dont la seigneurie appartenait à messire Antoine Van Quickelberghe. On connaît quatre enfants nés du mariage de Jean Van den Dycke avec Jeanne Van der Ghenst : 1. Agnès, religieuse à l'abbaye de Roosendael, près de Malines. Voyez le document n° 1. 2. Gauda, dite en religion Marguerite, religieuse au couvent des Dominicaines de Hertoginnendael ou Val-Duchesse à Auderghem, décédée le 20 juin 1602. 3. Jean, auquel, d'après le manuscrit cité par M. le professeur Serrure, la dame Marie Hutenhove, veuve d'Antoine Van Quickelberghe, accorda, par acte du 29 décembre 1586, la place de bailli d'Heuverhuys, dépendance de la commune de Wanneghem. 4. Guillaume, seigneur de Santvliet, après la mort de son père. Ce Guillaume Van den Dycke, qui paraît être l'aîné et qui est ordinairement désigné sous le nom de de la Dique, épousa, à Bruxelles, Marie de Meghem, fille de Jean de Meghem, chevalier de l'ordre de la croix de Portugal, seigneur de Chaudfontaine. Leur fille, Catherine Van den Dycke, épousa Philippe Van Valckenisse, d'Anvers, seigneur de Hemixem, décédé le 3 mars 1614. Voyez le document n° 3. De ce mariage sont nés : 1. Philippe Van Valckenisse, qui épousa Françoise Girardi. Voyez la note du document n° 3. 2. Pierre Van Valckenisse, carme déchaussé. Voyez ibid. 3. Marie-Marguerite Van Valckenisse, prieure des Carmélites déchaussées d'Oirschot. 4. Trois garçons, morts en bas âge, et décédés avant 1619, puisque dans le document n° 3 on ne nomme que trois enfants étant encore en vie. A la mort de Philippe Van Valckenisse, en 1614, Catherine Van den Dycke, sa veuve, resta chargée de l'éducation de six enfants, cinq garçons et une fille. Le document n° 3 constate que son état de fortune était peu brillant. Sa fille, Marie-Marguerite, née le 26 mai 1605, fut d'abord mise en pension chez les Dominicaines d'Auderghem, où sa tante Gauda, ou Marguerite, la soeur utérine de la duchesse de Parme, avait été religieuse, et où elle mourut le 20 juin 1602. Catherine retira ensuite sa fille du couvent d'Auderghem, pour la placer chez les Ursulines de Louvain, où elle avait une cousine religieuse. Afin de pourvoir, de la manière la plus économique, à l'éducation de ses enfants, et pour être à même de les environner sans cesse, pendant leurs études, de son affection maternelle, elle alla elle-même s'établir à Louvain. Trois de ses garçons moururent assez jeunes. Philippe et Pierre, qui terminèrent leurs études à l'université, perdirent leur mère le 18 février 1620. Son corps fut inhumé dans l'église de Saint-Quentin, à Louvain. NOTE : A Saint-Quentin à Louvain en effet, le 22/02/1620 fut inhumée une Catharina Van Dyck, veuve de Valquenis (sic), livre 11872, folio 51. * NB : Les trois documents que nous publions à la suite de cette note proviennent de la bibliothèque de Henri-Marie-François-Jacques de Vivario, substitut procureur général au grand conseil de Malines. Ces trois déclarations, faites évidemment à la demande d'une courageuse mère de famille, cherchant, en sa qualité de petite-fille de la mère de la duchesse de Parme, une puissante protection en faveur de ses jeunes enfants, pourront contribuer à éclaircir un fait, bien secondaire à la vérité, de l'histoire de Charles-Quint. Ensuite, l'origine maternelle de la vénérable Marie-Marguerite Van Valckenisse n'explique-t-elle pas aussi les motifs pour lesquels, par l'intervention de la reine de France, Marie de Médicis, le prince d'Orange Frédéric-Henri favorisa, en 1644, l'établissement des Thérésiennes à Oirschot ? Ce prince confirma, en 1646, la fondation de ce couvent, à la prière de la reine d'Angleterre, Henriette-Marie, qui fut heureuse de pouvoir faire sanctionner plus amplement la faveur que le prince avait accordée autrefois à la demande de Marie de Médicis, sa mère. Le fils et le successeur de Frédéric-Henri, Guillaume II, qui épousa la fille de la reine d'Angleterre, s'empressa à son tour de satisfaire à de nouvelles instances de sa belle mère, et déclara, par un acte du 24 avril 1648, qu'il prenait sous sa protection et celle des états généraux des Provinces-Unies, le couvent dont Marie-Marguerite Van Valckenisse était la supérieure. Cette haute intervention en faveur d'une pauvre communauté de Carmélites ne trouve-t-elle pas sa raison d'être dans des liens de famille? La fille de Charles-Quint était veuve d'Alexandre de Médicis, lorsqu'elle épousa Octave Farnèse, et dans la suite plus d'un lien se forma encore entre les Médicis et la maison ducale de Parme. La reine de France, l'altière Marie de Médicis, et sa fille, l'infortunée Henriette-Marie d'Angleterre, ont dû se souvenir que la carmélite d'Oirschot n'était pas entièrement une étrangère pour elles. ++++ I-Copie d'une attestation de l'an 1617. Nous Dame Catherine de Fraisne, abbesse du couvent de Roosendael, Dame Margarita Forex, Dame Joanna Hauwaerts, religieuse du couvent prénommé, font savoir à tous ceux qui liront ou entendront lire ce texte, que dans notre couvent de Roosendael une religieuse a été reçue et y est également décédée en tant que jubilaire, Dame Agnès Van den Dycke, fille de feu le gentilhomme Jan Van den Dycke, seigneur de Santvliet, en son temps conseiller en maître de la chambre des comptes de Bruxelles, et de mademoiselle Jeanne Van der Genst, sa mère, et quand les troubles arrivèrent aux Pays-Bas et que nous prénommées ont du quitter notre couvent, la nommée Agnès Van de Dycke est partie pour Lierre près d'Anvers, et le gouverneur de cette ville, nommé Sieur Lansa Vecha, l'a prise dans sa maison et lui a témoigné beaucoup d'honneurs, parce qu'il savait bien qu'elle était la tante du sérénissime feu xxxxxx Alexandre Farnèse, duc de Parme et de Plaisance, de son côté maternel, lequel, averti de cette situation, a chargé le gouverneur de la régaler et de lui donner tout ce dont elle aurait besoin, et en plus le susdit duc a payé toutes ses dépenses au couvent de Nazareth, après qu'elle ait quitté la maison du gouverneur ; tout cela les susdites ont déclaré être vrai à la demande de demoiselle Catharina Van de Dycke, veuve de Philippe Van Valckenisse, seigneur d'Hemiksem, signé avec notre nom et surnom et la dessus apporté notre cachet usuel. Fait à Malines dans la maison de notre refuge le 2 mai 1617. + Et il faut aussi savoir que la susdite Catharina Van den Dycke est la veuve du susdit Philippe van Valckenisse, seigneur de Hemiksem. + Et étoit signé : Suster Catharina de Fraisne, abdisse ; Suster Margarita Forex ; Suster Joanna Huuwaerts. + Et étoit cacheté et scellé d'un cachet imprimé en hostie rouge. (1) Anciennement le nom de cette famille s'écrivait toujours Van Dijck ou Van Dycke. L'orthographe Van den Dycke prévalut plus lard, comme on le remarque dans les armoiries d'une verrière donnée, en 1670, par Eugène-André Van Valckenisse, secrétaire d'Anvers, au couvent des Falcons de celle ville. Voyez Inscriptions funéraires et monumentales de la province d'Anvers, 38' livi-., p. 336, ++++ (1) Dans le document collationné sur l'original et publié par M. le professeur Serrure, ce nom est orthographié de trois manières différentes : Van der Gheenst, Vander Ghenst, Vander Gheynst. (2) Les religieuses de Roosendael s'étaient retirées à Malines après que leur monastère eut été saccagé pendant les troubles du seizième siècle. L'abbesse Jeanne Van Lathem restaura le couvent et y ramena la communauté en 1600. . II. Autre attestation de la même année. Comme en toute chose l'on est obligé de dire la vérité, et particulièrement y étant requis, comme fait à présent demoiselle Catherine de la Dicque (1), fille de Guillaume de la Dicque et de demoiselle Marie de Meghem. étant ladite Catherine à présent veuve de feu le Sr Philippe de Valckenisse Sr de Hemissen, duquel elle a retenu trois enfants, deux fils nommés, l'un Philippe (2) et l'autre Pierre (5), et une fille nommée Marie-Marguerite (4), disons et certifions, nous souscrites demoiselles religieuses et soeurs de l'ordre de Saint-Dominique au cloître 's Hertoginnendaele, dit Auwergem, une lieue près de Bruxelles, qu'avons vécu et résidé avec demoiselle Gauda (5) de la Dicque, soeur légitime de père et mère de Guillaume de la Dicque, père de la susdite Catherine, laquelle entra au monastère le quatorzième jour du mois d'octobre 1543, et fit sa profession l'an 1545, le huitième février, et changea alors du nom de Gauda en Marguerite, et ce en l'honneur et à la règle de dame Marguerite d'Austriche, princesse de Parme et gouvernante des Païs-Bas, laquelle chérissoit fort ladite religieuse Marguerite, à cause qu'elle descendoit d'une même mère, nommée demoiselle Jeanne Van der Genst, laquelle, après avoir eu ladite Marguerite d'Austrice de l'empereur Charles-Quint, se maria ladite Jeanne Van der Genst au sieur Jean de la Dicque, conseiller et premier maître de la chambre des comptes, père dudit Guillaume; et étoit l'affection de dame Marguerite telle à l'endroit de la susdite religieuse, qu'elle en a par plusieurs fois visité ladite religieuse, la menant main à main par ledit couvent et en sa celle, où pendoit le portrait de ladite demoiselle Jeanne Van der Genst, laquelle dame Marguerite disoit : Voilà notre mère; et pour davantage caresser et donner témoignage de son affection vers ladite religieuse, venant un jour de la chasse et ayant pris un cerf, le fit mener devant la porte du couvent, où la dame prieure étoit aussi présente, et y fit venir toutes les demoiselles et soeurs religieuses du susdit couvent, et fit en leur présence escorcher ledit cerf, lequel mourant pleuroit avec telle abondance, que les religieuses rassembloient les larmes en une tasse d'argent, laquelle icelles présentoient à ladite dame Marguerite, qui lava ses mains aux dites larmes et donna aux chiens qui avoient chassé ledit cerf, à manger dans la peau de celui-ci du lait et du pain blanc. Toutes lesquelles choses ont été vues par ces susdites demoiselles et soeurs religieuses du susdit couvent : ce que déclarent et attestent les souscrites et soussignées demoiselles et soeurs. Et la susdite religieuse Marguerite de la Dicque, tante de la susdite Catherine de la Dicque, vécut, en notre religion, religieuse et jubilaire de cinquante-huit ans, et mourut le vingtième de juin, l'an 1602, ayant vécu avec nous en plusieurs offices, nous ayant laissé plusieurs bons exemples de sa bonne vie et signalés services. Et en signe de vérité, avons attesté et déclaré que dessus es mains de notre révérende dame prieure dame Anne de Mol, laquelle aussi souscrit la présente et y fait appendre le sceau dudit couvent, ce vingt-septième d'avril 1617. Et étoit signé S. Anna de Mol, prorinne ; Suster Barbara de Monchet, subpriorin; Maria Van der Linden ; S. Clam Lopes ; S. de Waersegger ; S. Joanna Waelsteen; S. Anna Van Oncheni; Lysebet Mismana. + Du côté étoit imprimé un cachet en hostie blanche en forme ovale. ++++ (1) Cette désignation erronée de la Dicque est contraire aux documents généalogiques dans lesquels on lit Van Dyck ou Van den Dijcke, n'est qu'une transformation en français du véritable nom de famille. On sait d'ailleurs de quelle manière singulière plusieurs noms flamands ont été estropiés dans des traductions françaises. (2) Philippe Van Valkenisse, qui épousa Françoise Gerardi, d'Anvers, succéda à son père, qui se nommait aussi Philippe, dans la seigneurie de Hemixem, et était premier secrétaire de la ville d'Anvers. Sa pierre sépulcrale avec armoiries, placée à l'église de Hemixem, lieu de sa sépulture, se trouve dans Le Roy, Notitia marchionatus Antverpiensis p. 380. (3) Pierre Van Valkenisse entra dans l'ordre des Carmes déchaussés, à Douai, et fit sa profession religieuse au couvent de son ordre, à Louvain, le 5 octobre 1621. Il se distingua, sous le nom de Pierre de la Croix, comme missionnaire en Angleterre et en Hollande. (4) Elle est connue sous le nom de Marie-Marguerite des Anges; elle mourut, en odeur de sainteté, prieure du couvent des Carmélites déchaussées, à Oirschot, dans le diocèse de Bois-le-Duc, le 5 février 1658. Voyez sa Notice; Louvain, 1865, in-8°, et notre Hagiographie nationale, t. II, p. 162. (5) Gauda ou Gadu, Godeborle, prénom fort commun autrefois en Flandre. . III. Autre attestation de l'an 1619. A tous ceux qui ces présentes lettres verront et ouïront, bourgmestres, échevins et conseil de la ville d'Anvers, salut. Sçavoir faisons et certifions en vérité, qu'aujourd'hui, date de cette (à l'instance et requête de demoiselle Catherine de la Dicque, veuve de Philippe de Valckenisse), par-devant nous est venu et comparu personnellement Jacques Echout, premier maître de la police de cette dite ville pour Leurs Altesses Sérénissimes, âgé de septante-trois ans, et a, parle serment fait à l'entrée de son office, dit, déclaré et affirmé être vrai, qu'il a fort bien connu, passe plus de quarante ans, par familière conversation, ledit feu Philippe de Valckenisse, avec lequel il a longtemps fait la garde et veillé de nuit pour la conservation de cette ville et de la foi Catholique, apostolique et romaine et pour le service de Sa Majesté catholique, de très-heureuse mémoire, lorsque les huguenots, rebelles de Sa dite Majesté, se rendirent maîtres de cette ville en l'an quinze cent septante-sept, lesquels quelques jours, voyant porter en la procession de cette ville le vénérable saint sacrement d'Eucharistie, s'efforçoient de le saisir avec le prêtre qui le portoit : ce que voyant ledit Valckenisse et lui affirmant, se sont mis à la défense avec leurs épées, en hasard de leur vie, de sorte que, par la grâce de Dieu, n'y succédoit aucun malheur; et c'est ledit Valckenisse qui toujours s'est catholiquement comporté, que depuis les derniers troubles il fut élu par (1) un des capitaines de la bourgeoisie à la garde et conservation de cette ville. Déclarant en outre ledit affirmant, par son dit serment, qu'il a aussi fort bien connu Pierre de Valckenisse, père dudit Philippe de Valckenisse, et qu'il sçait, et qu'il est vrai, qu'icelui Pierre, pour être tant fidèle et zélé serviteur de Sa Majesté Catholique, et pour la foi catholique, apostolique et romaine, par un billet que lui envoyèrent les huguenots, lors gouvernant cette dite ville, fut contraint de se retirer de cette ville et abandonner tous ses biens, femme et enfants, et qu'après son retour il a trouvé ses biens et héritages qu'il avoit près de cette ville, entièrement ruinés et saccagés, et que lui, affirmant, a aussi bien connu noble dame Marie de Meghem, mère de ladite demoiselle Catherine de la Dicque, producente, avec laquelle icelle producente a vécu en cette ville tant qu'on y pouvoit exercer la religion catholique, apostolique et romaine, et qu'elle a aussi été contrainte de se retirer de cette ville et abandonner ses biens et commodités, s'en étant partie avec ladite producente et autres ses enfants vers la ville de Cologne, où qu'elle a enduré grands travaux et besoins en grande pauvreté, pour ne pouvoir jouir des biens qu'elle avoit au pais de Brabant, ayant aussi trouvé en son retour ses maisons près de la ville de Bruxelles rasées et saccagées jusqu'aux fondements. Au surplus, déclare ledit affirmant bien scavoir et être vrai que ladite demoiselle Catherine de la Dicque a retenu en vie trois enfants procréés en légitime mariage dudit Philippe de Valckenisse, son mari, à scavoir deux fils, Philippe et Pierre, et une fille, Marie-Marguerite de Valckenisse, lesquels ce dit affirmait connoît aussi fort bien, et de leur jeunesse les a connus, par la familière conversation qu'il a eu avec leurs dits père et mère et à leur maison : le tout sans fraude et malengien. En témoin de ce, avons-nous ce scel aux causes de ladite ville d'Anvers fait mettre à ces présentes, ce sixième jour du mois d'avril, l'an 1600 et dix-neuf. Etoit signé A. Ronse (4), et scellé d'un grand scel imprimé en cire verte. ++++ (1) Peut-être pour. (4) Ambroise Roose. |
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