L'an de grâce mil sept cent soixante-quatorze, le sept février après avoir publié les trois bans du futur mariage le deux février fête chaumable,au prône de la messe de paroisse entre Julien DUPRESSOIR, agé de trente ans, fils de défunt Pierre DUPRESSOIR et de vivante Marguerite QUENARDEL, ses père et mère, d'une part. Et Marie Elisabeth PENE, agée de vingt cinq ans, fille de Jean PENE et de Marguerite SAINT-REMY, ses père et mère d'autre part, tous deux de cette paroisse. Vu la dispense de deux bans obtenue de l'archevêché de Reims en date du vinq février même année par et signé DE L'ESCURE, vic(aire) gén(éral) et J. GOBREAU, insinué et contrôléà Reims le dit jour cinq février même année, signé LA BLANCHE, pour le greffier ordinaire, sans qu'il y ait eu aucune opposition ni empêchement,je, Pierre LE ROY, prêtre curé de Verzy soussigné, ai reçu d'eux les promesses et consentements de mariage, fait et célébré le dit mariage dans l'église de ma paroisse, en présence, du côté de l'époux, de Jean BaptisteDUPRESSOIR, son frère, et de Nicolas SERVAL, et du côté de l'épouse, de Jean PENE, son père, et de Jean Julien PENE et autres, qui nous ont certifié la liberté des parties à contracter mariage sous les peines portées àl'ordonnance, et ont signé avecnous le présent acte le même jour, mois etan que dessus, de ce interpellés suivant l'ordonnance.) |
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